Peyronnet, prisonnier au fort de Ham après sa condamnation à perpétuité pour haute trahison, vient de recevoir par la poste, le septième volume de «Paris, ou le Livre des Cent-et-Un», édité par Ladvocat. Il désapprouve ce changement : «vous m’aviez fait espérer qu’il me parviendrait par une meilleure voie». Il craint que son correspondant soit souffrant, ce qui expliquerait ce changement. Il ajoute, à propos de ses propres textes publiés dans cet ouvrage : «Vous aurez bien, n’est-il pas vrai, la complaisance, comme pour le Vincennes [in Livre des Cent-et-Un, tome IV], quelques exemplaires du Château de Ham [in Livre des Cent-et-Un, tome VII]». Il a repéré une faute à éliminer, absente des épreuves et probablement dûe à la mise en page ; il en précise la correction.